Bernard Bensaid : Toutes les compétences du
gestionnaire au service de la « silver » économie !
Bernard Bensaid
Aujourd’hui le phénomène est tellement conséquent que l’on est obligé de l’aborder sous différents angles. Un peu comme avant on parlait de l’enfant et de l’adolescent, aujourd’hui on fait la différence entre senior et senior ! En effet, si à 60 ans on est maintenant considéré comme un senior (notamment par la SNCF !!) on reste actif et, comme certains l’affirme, on dispose des mêmes capacités que les personnes de 45 ans il y a 50 ans… encore actifs à cet âge, on le devient moins après 75 ans et la question de la dépendance se pose à partir de 80 ou 85 ans, en dehors de tout problème de santé… La géométrie du problème est donc variable. Le vieillissement devient maintenant la longévité, quel que soit le nom que l’on puisse lui donner, il s'agit en tous cas désormais d’une économie à elle toute seule, voire un écosystème, si l’on considère l’ensemble des personnes et des compétences impliquées dans le sujet. Cette économie du vieillissement – ou donc, de la longévité - est estimée à un budget de 500 M€ et se rapporte aux personnes de plus de 75 ans, mais aussi à celles qui sont en perte d'autonomie ou en cours d’affaiblissement. Pour les plus jeunes et qui veulent le rester (à partir de 60 ans) on parle d’un volume financier de 100 Milliards d’euros, représentant de nombreux secteurs, dont les loisirs par exemple, mais aussi et justement tout ce qu’il faut pour anticiper et prolonger un vieillissement dans les meilleures conditions.
Forcément, cette problématique entraîne donc la mise en évidence de nombreux aspects à aborder et concerne aussi bien les produits que les services, impliquant l’humain au quotidien mais aussi tous les « outils » de facilitation de la vie, comme la domotique pour pouvoir rester chez soi, la gestion de la santé par internet (encore appelé la e-santé) et nombre de sujets qu’il est grand temps d’aborder pour aller au cœur du problème !
Des acteurs comme doctocare deviennent donc aujourd’hui des références dans le domaine de la gestion du vieillissement
D’après « l'Institut français des seniors » le plus gros souci des français qui prennent le virage de la soixantaine est à 61 %) la dégradation de sa santé et, pour 41 % d’entre eux, la diminution intellectuelle. En gros, de quelque manière que l’on retourne le problème, c’est la perte d’autonomie, physique ou intellectuelle, qui inquiète le plus les personnes qui vieillissent. Il est donc important de leur proposer un soutien, des aides techniques, financières, et de mettre en place toute une batterie de solutions simples pour gérer la vie de tous les jours et les problèmes classiques. Comme évoqué par certains acteurs de la santé notamment, l’objectif serait de créer un écosystème vertueux entre usager et acteurs de la filière, mais sans doute pas seulement. Elargir le cercle et arrêter de marginaliser la vieillesse serait un point de départ intéressant ! En 2030, ce sera un tiers de la population française qui sera en retraite (20 millions de personnes)
D'après un baromètre publié l’an dernier par Silver Valley sur le poids économique de la Silver économie en Ile-de-France, une majorité d’entreprises acteurs du secteur sont en capacité et en nécessité d’embaucher (soit 70 % sur 130 entreprises consultées). Bien sûr, si l’habitat est concerné en priorité, surtout sur les aménagements nécessaires, la prévention santé et le lien social sont également des points importants et les innovations ont encore de beaux jours devant elles ! Et maintenant bien sûr, toutes les technologies numériques sont sur le devant de la scène, la question qui se pose est simplement de savoir si tout le monde pourra s’y adapter ! En tous les acteurs principaux du secteur y font, quant à eux, largement appel et c’est heureux car cela facilite d’ores et déjà les échanges entre usagers et professionnels.
C’est le cas pour le Groupe doctocare, filiale du groupe DocteGestio, créé dans les années 2000 par Bernard Bensaid. Après s’être très bien positionné sur les secteurs de la gestion immobilière et de l’hôtellerie, c’est dans le sanitaire et le médico-social que le groupe excelle ! Sur un ensemble de 5000 salariés travaillant au sein du groupe, plus de 3000 sont actuellement consacrés au secteur sanitaire et social et surtout, se sont mis au service de cette fameuse silver économie, en d’autres termes les personnes âgées.
En savoir plus sur doctocare
On l’aura compris, doctocare fait le mix entre le latin et l’anglais (et cela va très bien à Bernard Bensaid !!) Docte voulant dire science en latin et décliné en accroche avec le mot anglais « care » pour les soins et la santé.
Doctocare a est la filiale d’un groupe dont le président est un économiste de renom, distingué par des prix et surtout professeur des Universités dans ce domaine. Ce n’est donc pas surprenant que Bernard Bensaid ait prévu depuis longtemps l’évolution du marché des seniors et surtout l’évolution des besoins liés à toutes les problématiques de l’âge. Il a donc œuvré pour mettre en place des méthodes, des réseaux, des points de chute physique pour créer une activité à part entière dans le médico-social, avec la mise en place et le développement de services pour mieux gérer la santé mais aussi pour que les personnes âgées puissent se trouver bien, qu’elles restent chez elles ou qu’elles soient hébergées en établissement spécialisé.
La théorie est relativement simple si l’on considère que le groupe vise à assister les individus dans leur parcours médical partout en France et pour la durée de leur vie. Finalement, si l’on est suivi et que notre dossier nous suit partout, il sera plus facile d’aborder le dit 3ème âge avec sérénité. Le groupe doctocare dispose aujourd’hui de plus d’une centaine d’établissements dans l’hexagone, notamment des centres médico sanitaires et des cliniques. C’est donc aujourd’hui tout un réseau de compétences dans le domaine de la santé qui œuvre en partenariat avec le groupe. L’objectif est d’apporter de la qualité dans l’ensemble des processus, de pouvoir intervenir sur toutes les disciplines médicales et socio-médicales. Un autre point important est la proximité, proximité territoriale bien sûr, mais aussi au sens du client, c’est-à-dire écoute, attention et service.
Bien évidemment, sur le plan administratif et financier, tout est en parfait accord avec la norme et le tiers payant est accepté dans chacun de ses établissements concerné.
Devenir le premier pour servir le maximum de personnes !
Doctocare poursuit un objectif affiché et ambitieux : se positionner au premier rang en France pour y devenir le premier opérateur intervenant à la fois dans le sanitaire, le médico-social avec notamment le traitement optimal des personnes âgées, hébergées en institution ou traitées chez elles.
Ayant dès sa création mis Internet sur le sommet de toute activité dans le groupe DocteGestio, la direction de doctocare n’a pas manqué de travailler très sérieusement sur la digitalisation du parcours patient. Prise de rendez-vous, création et élaboration du dossier du patient, suivi, tout cela est aujourd’hui accessible directement par le web, côté médecin comme côté patient. Les équipes travaillant des tous les types d’établissements sont responsabilisées par un suivi permanent via des outils de gestion permettant un accès et une évolution quotidienne sur les dossiers.
Et les personnes âgées, dans tout ça ?
Le rachat de l’Association Mosellane d’Aide aux Personnes Agées (Amapa) a marqué le début des activités de Bernard Bensaid dans le secteur d’activité. L’arrivée de l’économiste dans l’association a apporté quelques transformations… L’association est devenue maintenant Entreprise de l’Economie Sociale et Solidaire (ESS), et amapa a expérimenté un certain nombre de nouvelles méthodes (la gestion en premier…) qui lui ont permis de devenir un acteur innovant de de l’aide à domicile, d’abord dans le département de la Moselle.
C’est dans le soin à domicile que les choses ont le plus évolué ces dernières années. Amapa propose donc des soins infirmiers à domicile (SSIAD) et des aides à domicile (SAAD) ce qui est le premier service à offrir pour que les personnes ayant besoin d’être accompagnées à certains moments de la journée puissent envisager les choses pratiques avec plus de sérénité. Ce sont en effet des besoins minimes pour les personnes valides, mais qui deviennent compliquées quand on ne peut plus les faire tout seul ! Et, bien sûr, quand l’aide ne suffit plus et que les personnes ont besoin d’être prises en charge en EHPAD ou EHPA, il y a une offre dans ce domaine aussi. Doctocare s’appuie sur les nouvelles technologies et sa filiale amapa n’échappe pas à la règle. Il est donc proposé des services de télésurveillance et un portail web spécialement adapté pour les personnes moins habiles avec la gestion Internet… Et, pour maintenir le lien social et apporter un minimum de sécurité pour ceux qui peuvent communiquer, doctocare a créé Cello, une ligne de smartphones adaptés qui facilite grandement la vie de ceux qui en disposent !
Donc si le groupe est encore en développement, tant pour l’implantation des établissements que pour les services offerts et les améliorations technologiques à disposition, on peut déjà assurer que doctocare va certainement atteindre son objectif d’être le premier en France sur le marché de la Silver Economie….
Aujourd’hui le phénomène est tellement conséquent que l’on est obligé de l’aborder sous différents angles. Un peu comme avant on parlait de l’enfant et de l’adolescent, aujourd’hui on fait la différence entre senior et senior ! En effet, si à 60 ans on est maintenant considéré comme un senior (notamment par la SNCF !!) on reste actif et, comme certains l’affirme, on dispose des mêmes capacités que les personnes de 45 ans il y a 50 ans… encore actifs à cet âge, on le devient moins après 75 ans et la question de la dépendance se pose à partir de 80 ou 85 ans, en dehors de tout problème de santé… La géométrie du problème est donc variable. Le vieillissement devient maintenant la longévité, quel que soit le nom que l’on puisse lui donner, il s'agit en tous cas désormais d’une économie à elle toute seule, voire un écosystème, si l’on considère l’ensemble des personnes et des compétences impliquées dans le sujet. Cette économie du vieillissement – ou donc, de la longévité - est estimée à un budget de 500 M€ et se rapporte aux personnes de plus de 75 ans, mais aussi à celles qui sont en perte d'autonomie ou en cours d’affaiblissement. Pour les plus jeunes et qui veulent le rester (à partir de 60 ans) on parle d’un volume financier de 100 Milliards d’euros, représentant de nombreux secteurs, dont les loisirs par exemple, mais aussi et justement tout ce qu’il faut pour anticiper et prolonger un vieillissement dans les meilleures conditions.
Forcément, cette problématique entraîne donc la mise en évidence de nombreux aspects à aborder et concerne aussi bien les produits que les services, impliquant l’humain au quotidien mais aussi tous les « outils » de facilitation de la vie, comme la domotique pour pouvoir rester chez soi, la gestion de la santé par internet (encore appelé la e-santé) et nombre de sujets qu’il est grand temps d’aborder pour aller au cœur du problème !
Des acteurs comme doctocare deviennent donc aujourd’hui des références dans le domaine de la gestion du vieillissement
D’après « l'Institut français des seniors » le plus gros souci des français qui prennent le virage de la soixantaine est à 61 %) la dégradation de sa santé et, pour 41 % d’entre eux, la diminution intellectuelle. En gros, de quelque manière que l’on retourne le problème, c’est la perte d’autonomie, physique ou intellectuelle, qui inquiète le plus les personnes qui vieillissent. Il est donc important de leur proposer un soutien, des aides techniques, financières, et de mettre en place toute une batterie de solutions simples pour gérer la vie de tous les jours et les problèmes classiques. Comme évoqué par certains acteurs de la santé notamment, l’objectif serait de créer un écosystème vertueux entre usager et acteurs de la filière, mais sans doute pas seulement. Elargir le cercle et arrêter de marginaliser la vieillesse serait un point de départ intéressant ! En 2030, ce sera un tiers de la population française qui sera en retraite (20 millions de personnes)
D'après un baromètre publié l’an dernier par Silver Valley sur le poids économique de la Silver économie en Ile-de-France, une majorité d’entreprises acteurs du secteur sont en capacité et en nécessité d’embaucher (soit 70 % sur 130 entreprises consultées). Bien sûr, si l’habitat est concerné en priorité, surtout sur les aménagements nécessaires, la prévention santé et le lien social sont également des points importants et les innovations ont encore de beaux jours devant elles ! Et maintenant bien sûr, toutes les technologies numériques sont sur le devant de la scène, la question qui se pose est simplement de savoir si tout le monde pourra s’y adapter ! En tous les acteurs principaux du secteur y font, quant à eux, largement appel et c’est heureux car cela facilite d’ores et déjà les échanges entre usagers et professionnels.
C’est le cas pour le Groupe doctocare, filiale du groupe DocteGestio, créé dans les années 2000 par Bernard Bensaid. Après s’être très bien positionné sur les secteurs de la gestion immobilière et de l’hôtellerie, c’est dans le sanitaire et le médico-social que le groupe excelle ! Sur un ensemble de 5000 salariés travaillant au sein du groupe, plus de 3000 sont actuellement consacrés au secteur sanitaire et social et surtout, se sont mis au service de cette fameuse silver économie, en d’autres termes les personnes âgées.
En savoir plus sur doctocare
On l’aura compris, doctocare fait le mix entre le latin et l’anglais (et cela va très bien à Bernard Bensaid !!) Docte voulant dire science en latin et décliné en accroche avec le mot anglais « care » pour les soins et la santé.
Doctocare a est la filiale d’un groupe dont le président est un économiste de renom, distingué par des prix et surtout professeur des Universités dans ce domaine. Ce n’est donc pas surprenant que Bernard Bensaid ait prévu depuis longtemps l’évolution du marché des seniors et surtout l’évolution des besoins liés à toutes les problématiques de l’âge. Il a donc œuvré pour mettre en place des méthodes, des réseaux, des points de chute physique pour créer une activité à part entière dans le médico-social, avec la mise en place et le développement de services pour mieux gérer la santé mais aussi pour que les personnes âgées puissent se trouver bien, qu’elles restent chez elles ou qu’elles soient hébergées en établissement spécialisé.
La théorie est relativement simple si l’on considère que le groupe vise à assister les individus dans leur parcours médical partout en France et pour la durée de leur vie. Finalement, si l’on est suivi et que notre dossier nous suit partout, il sera plus facile d’aborder le dit 3ème âge avec sérénité. Le groupe doctocare dispose aujourd’hui de plus d’une centaine d’établissements dans l’hexagone, notamment des centres médico sanitaires et des cliniques. C’est donc aujourd’hui tout un réseau de compétences dans le domaine de la santé qui œuvre en partenariat avec le groupe. L’objectif est d’apporter de la qualité dans l’ensemble des processus, de pouvoir intervenir sur toutes les disciplines médicales et socio-médicales. Un autre point important est la proximité, proximité territoriale bien sûr, mais aussi au sens du client, c’est-à-dire écoute, attention et service.
Bien évidemment, sur le plan administratif et financier, tout est en parfait accord avec la norme et le tiers payant est accepté dans chacun de ses établissements concerné.
Devenir le premier pour servir le maximum de personnes !
Doctocare poursuit un objectif affiché et ambitieux : se positionner au premier rang en France pour y devenir le premier opérateur intervenant à la fois dans le sanitaire, le médico-social avec notamment le traitement optimal des personnes âgées, hébergées en institution ou traitées chez elles.
Ayant dès sa création mis Internet sur le sommet de toute activité dans le groupe DocteGestio, la direction de doctocare n’a pas manqué de travailler très sérieusement sur la digitalisation du parcours patient. Prise de rendez-vous, création et élaboration du dossier du patient, suivi, tout cela est aujourd’hui accessible directement par le web, côté médecin comme côté patient. Les équipes travaillant des tous les types d’établissements sont responsabilisées par un suivi permanent via des outils de gestion permettant un accès et une évolution quotidienne sur les dossiers.
Et les personnes âgées, dans tout ça ?
Le rachat de l’Association Mosellane d’Aide aux Personnes Agées (Amapa) a marqué le début des activités de Bernard Bensaid dans le secteur d’activité. L’arrivée de l’économiste dans l’association a apporté quelques transformations… L’association est devenue maintenant Entreprise de l’Economie Sociale et Solidaire (ESS), et amapa a expérimenté un certain nombre de nouvelles méthodes (la gestion en premier…) qui lui ont permis de devenir un acteur innovant de de l’aide à domicile, d’abord dans le département de la Moselle.
C’est dans le soin à domicile que les choses ont le plus évolué ces dernières années. Amapa propose donc des soins infirmiers à domicile (SSIAD) et des aides à domicile (SAAD) ce qui est le premier service à offrir pour que les personnes ayant besoin d’être accompagnées à certains moments de la journée puissent envisager les choses pratiques avec plus de sérénité. Ce sont en effet des besoins minimes pour les personnes valides, mais qui deviennent compliquées quand on ne peut plus les faire tout seul ! Et, bien sûr, quand l’aide ne suffit plus et que les personnes ont besoin d’être prises en charge en EHPAD ou EHPA, il y a une offre dans ce domaine aussi. Doctocare s’appuie sur les nouvelles technologies et sa filiale amapa n’échappe pas à la règle. Il est donc proposé des services de télésurveillance et un portail web spécialement adapté pour les personnes moins habiles avec la gestion Internet… Et, pour maintenir le lien social et apporter un minimum de sécurité pour ceux qui peuvent communiquer, doctocare a créé Cello, une ligne de smartphones adaptés qui facilite grandement la vie de ceux qui en disposent !
Donc si le groupe est encore en développement, tant pour l’implantation des établissements que pour les services offerts et les améliorations technologiques à disposition, on peut déjà assurer que doctocare va certainement atteindre son objectif d’être le premier en France sur le marché de la Silver Economie….